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Jour 1 : Pourquoi j’ai décidé de passer à la vape
Je m’appelle Marc, j’ai 38 ans, et jusqu’à aujourd’hui, je me suis toujours considéré comme un fumeur. Pas un "fumeur invétéré", mais plutôt un adepte des moments volés. Ces instants où l’on s’éclipse avec une cigarette entre les doigts, persuadé que ce petit bâton de papier nous offre un répit dans le tumulte du quotidien.
Mais voilà, après vingt ans de fidélité à la nicotine, quelque chose a changé. Peut-être l’accumulation de petites contrariétés : ce souffle court en montant les escaliers, cette toux discrète mais persistante au réveil, ou encore ce moment gênant où ma nièce de 8 ans m’a demandé, avec toute l’innocence du monde : "Pourquoi tu souffles de la fumée tout le temps ?". Une question simple, mais qui, bizarrement, m’a profondément troublé.
Un déclic inattendu
C’est une discussion banale qui a allumé l’étincelle du changement. Un ami, Julien, qui vapotait en face de moi dans un café. Sa cigarette électronique émettait de légères volutes parfumées à la vanille, bien loin de l’odeur âcre de mes habituelles blondes. Curieux, je lui ai demandé ce qui l’avait poussé à passer à la vape.
Sa réponse a été directe : « Parce que je voulais me sentir libre. Libre de ne plus dépendre d’un paquet de cigarettes. Et tu sais quoi ? Ça a changé ma vie. »
Ces mots sont restés en moi, comme une graine qu’on plante sans s’en rendre compte. Libre. Voilà ce que je voulais être. Mais passer à la vape, c’était aussi affronter mes habitudes, remettre en question cette identité de "fumeur" que je portais depuis si longtemps.
Une bataille intérieure
Fumer, ce n’est pas juste une addiction. C’est un rituel. C’est la pause après une réunion stressante, le compagnon silencieux des soirées solitaires, ou encore le prétexte pour sortir prendre l’air. Envisager de tout changer me semblait… audacieux. Et si la vape ne me convenait pas ? Et si j’échouais ?
Mais l’image de Julien, serein et enthousiaste, me revenait sans cesse. Peut-être que moi aussi, je pouvais retrouver ce souffle de liberté qu’il décrivait. Ce sentiment qu’il y avait un "après", un monde où l’on ne dépend plus de la cigarette.
Un choix pragmatique
Bien sûr, il n’y avait pas que la philosophie derrière ma décision. Les chiffres parlaient d’eux-mêmes. Je dépensais près de 300 euros par mois en cigarettes, un gouffre qui aurait pu financer des voyages, des loisirs, ou même juste un bon restaurant en famille.
J’ai pris un carnet et fait mes propres calculs. Avec la vape, Julien dépensait moins de 50 euros par mois, tout compris. Et là, un autre déclic : en changeant de direction, je ne gagnerais pas seulement en santé, mais aussi en liberté financière.
Le premier pas
Aujourd’hui, je me tiens au bord de ce nouveau départ, le cœur partagé entre excitation et appréhension. Mon esprit balance entre la promesse d’un avenir meilleur et la peur de l’inconnu. Mais si j’ai appris quelque chose ces dernières années, c’est que les plus grands changements commencent souvent par un simple pas en avant.
Alors, me voilà, prêt à troquer mes cigarettes pour une vapoteuse. Un petit appareil en métal et en verre qui, je l’espère, marquera le début d’une nouvelle histoire. Je ne sais pas exactement où cette aventure me mènera, mais j’ai décidé de lui faire confiance. Parce que, comme le disait Julien, "parfois, il faut juste choisir de se libérer".
Et vous, êtes-vous prêt à changer votre histoire ?
Chaque parcours est unique. Peut-être que vous aussi, vous hésitez à franchir le pas. Peut-être que, comme moi, vous êtes en quête de liberté. Quoi qu’il en soit, souvenez-vous : le plus important, c’est de commencer. Le reste, c’est une histoire à écrire.
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